

Le fléau a tordu les esprits ainsi que la chair de ces ogruns, les rendant plus dépendants de la joie de la soif de sang. Si leurs ennemis ne sont pas tués directement par l’impact de leurs lances, les énormes longueurs de bois qui pendent à la vitalité des créatures peuvent les faire trébucher assez longtemps pour que l’ogrun dévasté se jette dessus et termine son travail.
Lire la suite...Le fléau a tordu les esprits ainsi que la chair de ces ogruns, les rendant plus dépendants de la joie de la soif de sang. Si leurs ennemis ne sont pas tués directement par l’impact de leurs lances, les énormes longueurs de bois qui pendent à la vitalité des créatures peuvent les faire trébucher assez longtemps pour que l’ogrun dévasté se jette dessus et termine son travail.